Au 11 mai, la majorité des Français a abordé le déconfinement progressif avec prudence. Si la menace d’une seconde vague plane dans l’esprit d’un bon nombre d’entre eux, ce sont les conséquences économiques et sociales qui inquiètent de plus en plus nos concitoyens. Risque de chômage, perte de revenus et de lien social... ces questions sont aujourd’hui au coeur des préoccupations des Français.
 
En cette période de crise, être à l’écoute des autres et notamment des plus fragiles est notre devoir d’assureur public pour réinventer des solutions utiles au service d’une société plus inclusive et respectueuse de la planète. 
 
C’est pourquoi nous sommes partenaires du « Baromètre COVID-19 » mené par l’association DATA COVID et l’Institut IPSOS : une large enquête auprès de 5 000 Français démarrée le 7 avril, qui, chaque semaine, livre ses résultats afin de suivre dans la durée l’impact de l’épidémie sur la vie de nos concitoyens. 

Découvrez ci-dessous une synthèse des résultats de la quatrième vague de l’enquête réalisée du 28 avril au 4 mai 2020.

Une crainte sanitaire toujours fortement présente...

1 - Les Français craignent une seconde vague

Image illustrant les résultats du Baromètre Datacovid

Bien qu'impatients d'entamer un retour à la vie « normale », l'épidémie reste la première préoccupation des Français (74%), en hausse de 4 points depuis la semaine passée. Alors que le déconfinement progressif a  débuté, la grande majorité des citoyens craignent une seconde vague épidémique.

... et des préoccupations sociales qui s’intensifient

2 - Les peurs liées à l’emploi, aux études et aux risques d’exclusion progressent chez beaucoup de Français

Image illustrant les résultats du Baromètre Datacovid

Près d’1 actif sur 3 déclare que ses craintes de se retrouver au chômage ont augmenté (32%). L’impact sur la gestion de leur budget suscite également des inquiétudes chez nos concitoyens, alors que 41% d’entre eux a d’ores et déjà constaté une baisse de revenus, en raison notamment du chômage partiel subi pendant le confinement. 

3 - Et plus particulièrement chez les personnes les plus précaires et les étudiants

Image illustrant les résultats du Baromètre Datacovid

Ces préoccupations sociales sont d’autant plus ressenties chez les catégories socioprofessionnelles les plus fragiles. C’est le cas notamment pour « la perte de rémunération » (46% contre 37% pour les CSP+) ou encore « la crainte de ne pas trouver d’emploi » qui augmente fortement pour 68% des inactifs.

Chez les étudiants, la crainte de ne pas réussir ses études a augmenté pour 58% d’entre eux. 

CNP Assurances et sa Fondation développent des actions pour protéger les plus fragiles

Depuis le début de la crise, avec nos partenaires, nous déployons des actions pour soutenir celles et ceux que la crise sanitaire a fragilisé et notamment :

Des actions « d’urgence » qui s’inscrivent dans la mission sociale plus large de CNP Assurances, en tant qu’assureur public et de sa Fondation, acteur de référence dans le domaine de lutte contre les inégalités sociales de santé.